Plus le temps à la réflexion [Libre]

Cela faisait à peine quelques heures que tous les survivants avaient vécu au crash de leur avion... Certains étaient toujours en état de choc, hurlant leur désespoir et d'autres manifestaient leur égarement par d'autres aspects. Quant à elle, Leyla Stevens, était restait assise durant une bonne heure dans le sable, étrangement flégmatique, regardant respectivement chaque passager qui avait survécu. C'était sûrement dû à l'état de choc... En réalité, elle n'en savait rien. Aucune larme n'était parvenu à ses yeux, aucune tristesse n'habitait son coeur. En réalité, elle avait l'impression d'être une coquille vide...

Aprés une demie-heure d'immobilité, elle reporta son attention sur la valise qui était posée devant elle et l'ouvrit dans un cliquetis familier. Manifestement, certaines choses étaient récupérables. Ils allaient être obligés de rester sur cette île, du moins, jusqu'à ce que les secours arrivent. Mais peut-être que cette île n'était pas désertée ? Le fait est qu'elle ignorait totalement où elle se trouvait en ce moment même comme tous les survivants du crash. Elle dégagea le contenu de sa valise, faisant tout tomber d'un geste plutôt brusque dans le sable puis elle ôta le fond qui contenait un compartiment caché. Son arme se tenait là... Un silencieux avec quelques munitions. Elle l'observa durant quelques secondes avant de secouer légèrement la tête comme si cela était amusant. Les autres étaient tellement préoccupés par leur état d'âme qu'ils ne se pencheraient sûrement pas sur le fait qu'elle portait une arme. Elle l'attrapa, passant son autre main sur son visage pour dégager ses cheveux mouillés puis glissa son arme à sa ceinture. Elle voulait savoir où elle se trouvait... Et on était jamais trop prudent.

Elle avança de quelques pas, mettant quelques secondes pour se réhabiliter à sa condition physique plutôt défectueuse puis elle examina silencieusement et avec discernement l'orée de la jungle qui se présentait face à elle...

Giovanni se promenait seule dans la forêt pour faire le vide, il pensait que les autres se trouvaient tous sur la plage encore a pleurait, a aidé ou bien encorea chercher leurs affaires, lui il venait de quitter la plage, ses affaires n'était plus mais il n'avait rien de vraiment important.
Comme il ne pouvait plus rien pour les blesser, il décida de partir.
Il marchait tranquilement en méditantsur ce qui pourait se passer maintenent, mais en réalité il n'était pas vraiment inquiet de la situation.
Il était la au beau milieu de la forêt qu'il explorait et qu'il admirer.
Il se promena pendant un long moment seul, tout été paisible, quand soudain il apercu quelqu'un de loin qui marchait, Giovanni ne put distinguer si c'était un homme ou une femme a cette distance, il décida alors de se rapprocher de l'individu qu'il avait remarquer, il arriva en face et s'appercu que c'était une femme seul et il lui semblait l'avoir remarqué tout a l'heure sur la plage, il s'approcha et devisagea la jeune fille, il la lorgna, et la regarda dans les yeux.

-Vous allez bien ? Lança t-il par pur politesse

Puis il se gratta la tête en observant la jeune fille en face de lui.

Aprés quelques secondes d'attente et d'observation de ce qui la cernait, Leyla se mit en route d'un pas déterminé. La végétation était telle que ça laissait penser que cette île était seulement habitée par la faune et la flore, mais peut-être que plus loin, elle trouverait un quelconque signe de vie humaine ? Enjambant à grands pas les fourrés et les hautes herbes qui s'enmêlaient dans ses pieds, elle porta son regard inquisiteur sur les moindres éléments qui constituaient le paysage. Elle se serait cru dans un film d'aventure, à la recherche d'un trésor perdu, mais la réalité était bien moins ydillique et agréable. Elle fut prise de court par un lancinement brutal dans sa jambe gauche puis se raidit un instant tout en se mordant la lèvre dans une grimace douloureuse. Elle lâcha un soupir avant de se remettre en route, le malaise s'étant dissipé pour laisser place à son entrain.

Maintenant, c'était le bruit des oiseaux et du vent chaud dans les arbres qui lui parvenait aux oreilles. Elle porta machinalement son regard sur sa montre... Vieille habitude. Mais celle-ci s'était arrêtée... A 16h10 pile. C'est alors qu'elle entendit un bruissement... Puis des pas. Elle leva ses yeux examinateurs vers la source de ce bruit, prête à dégainer si nécessaire mais elle perçut un homme... Un des survivants. Il s'approcha d'elle tout en l'observant d'une manière qu'elle n'apprécia guère. Elle plissa les yeux dans une expression accusatrice avant de croiser ses bras contre sa poitrine. " Vous allez bien ? " Cette phrase retentit durant quelques secondes dans son esprit. Tout le monde posait cette question en sachant trés bien quelle était la réponse... Comment devait-on aller aprés le crash de son avion ? Elle le détailla de la tête aux pieds, lui rendant ainsi son regard inquisiteur, puis elle se décida à lui répondre, adoptant une petite moue pensive.

" J'irais mieux lorsque j'aurais examiné les lieux aux alentours... " Lui répondit-elle d'une voix légèrement autoritaire alors qu'elle ne le quittait pas de ses yeux èmeraudes et perçants.

Au dessus de sa tête, le soleil était caché par les nombreux arbres, mais l'on pouvait tout de même apercevoir quelque rayon de soleil qui traversait certains endroit, les oiseaux chantaient jovialement, la forêt était plutôt calme.
Giovanni regarda la survivante en face de lui, il écouta ses paroles autoritaires et plutot froide, et il ne dit rien, il réfléchissait, il regarda l'imense forêt autour d'eux.
Puis il regarda a nouveau son interlocutrice dans ses magnifiques yeux émeraudes.

-Voulez vous que je vous aide ? Déclara t-il, car il s'ennuyais, et ne savais que faire, tous pleurait sur la plage ou étaient déséspérés.
Tandis-que Giovanni, lui n'était pas vraiment inquiet de la situation au contraire de la plus part des réscapés.
Mais il réfléchi un instant, et il se dit que peut être il la déranger, et qu'elle préféré être seul, en solitaire.

-Ou bien peut être préférée vous rester seul ?, demanda-t-il pour ne pas la gener.
Giovanni attendit une réponse tout en admirant le paysages magnifiques, il n'avait jamais vraiment aprécié ce genre de paysage, mais cette fois, ce paysage la lui plaisait assez...

Leyla s'attendait à ce que l'inconnu ne soit pas tenté de la suivre en vue de son comportement, mais apparemment, cela lui posait pas de problème. Elle arqua un sourcil en signe de perplexité tout en le regardant avec méfiance, comme si c'était une bête curieuse. Aprés tout, si elle devait apprendre à survivre sur cette île en attendant les secours, il fallait bien qu'elle ne joue pas l'ermitte... Elle fit mine de réfléchir, parcourant du regard les alentours plutôt paisibles puis hocha la tête.

" Si vous voulez... " Lui répondit-elle, adoptant un ton plus détaché. " Je veux juste repérer si il n'y a pas une quelconque trace d'humanité sur cette plage... "

Elle passa machinalement une main dans ses cheveux mouillés puis arrêta ses doigts sur la plaie à sa tempe. Cela était un peu douloureux mais rien de grave... Elle règlerait ça plus tard. Aprés tout, ils avaient tout leur temps. Elle ne pu réprimer un soupire, se massant sa nuque endolorie avant de reporter son entière attention sur son interlocuteur.

" Il faut être prudent... On ne sait jamais sur quoi on peut tomber... " Commenta-elle en commençant à avancer, écartant d'un revers de main les broussailles qui lui coupaient la route.

Dans tous les cas, Leyla avait assez de balles pour les défendre. En tout cas, elle espérait ne pas tomber sur trop d'animaux sauvages, ça serait vraiment la cerise sur le gâteau...

Giovanni attendit la réponse de la jeune fille, puis il souria quand il entendit celle-ci, il commencèrent alors a marcher dans la jungle
Il ne pensait pas vraiment qu'il y avait des vies humaines sur cette île ou bien d'animaux dangereux, mais il fallait tout de même qu'ils restent aux aguer au cas ou ils tomberaient sur un animal féroce, ou des membres d'un "peuples locales".
Giovanni marchait donc en compagnie de la jeune femme tout en regardant autour, en admirant la flore qui se présentait a eux, il jettait de temps en temps un coup d'oeil sur son interlocutrice.

-Au faite je m'appele Giovanni, déclara t-il en souriant a la femme.
En réalité Giovanni aimait connaître son entourage, et il pensait que les réscapés allait rester un moment ici en attendant les secours, qui n'arriveraient peut être pas.
Et il continua a marcher en admirant le paysage et en attendant une réponse de la jeune femme.

Leyla et son compagnon de route se mirent alors en marche sans plus attendre. Elle était en première position, dégageant les hautes herbes tout en examinant chaque élément avec minutie. Il eut vite fait de la rattraper pour marcher à ses côtés et la jeune femme affichait une mine concentrée, ne faisant pas trop attention à lui. Lorsqu'il lui adressa la parole pour lui faire part de son prénom, la jeune femme ne sut pas vraiment comment réagir. Elle acquiesça finalement en souriant, même si cela était plutôt crispé. C'était tout de même un bon début.

" Moi c'est Leyla... " Commença-elle.

Aprés tout, si ils devaient se côtoyer durant un certain temps, il fallait qu'elle en sache un minimum sur eux. Le caractère méfiant de la jeune femme refaisait souvent surface mais les autres devraient s'y habituer... Depuis la mort de ses parents, elle avait toujours été comme ça. Faisant face au silence plutôt pesant qui s'était installé entre eux, la jeune femme se râcla la gorge avant de reprendre la parole.

" Alors... Vous n'avez pas l'air trop troublé par les évènements... " Ajouta-elle avec un air soucieux. " Vous ne trouvez pas ça étrange que l'on ait survécu au crash ? "

Elle l'interrogea du regard, laissant sortir pour la première fois ses impressions.

Giovanni souria et continua de marchait après avoir sut son nom, il dit simplement

-Enchanté.

Puis un grand vide, un grand blanc s'installa, cela ne le dérangea pas, et il continua de marchait au côté de Leyla.
Il regardait autour de lui, faisant attention a la moindre chose suspecte, même si il ne s'y connaissait pas vraiment.
Puis il entendit la jeune femme parler
Giovanni n'était pas vraiment troublé, peut être un peu inquiet mais pas plus que ca, ou alors il ne le montrait pas.
Il regarda Leyla et il lui sourit

-Oui c'est vrai techniquement je pense que nous auriont du nous écraser sur la mer, Dit-il tranquilement.
-Mais nous sommes en vie, c'est l'essentiel, ce qui est arrivé est arrivé, et maintenent on n'y peut plus grand chose...
Dit Giovanni en souriant a la jeune fille, en effet cela ne le préocupait pas tellement, ce qui le préocupait c'était savoir comment il devrons survivre sur cette île.
Et il continua a marchait tout en regardant autour de lui et surtout en restant attentif.

A l'entente de la réponse de Giovanni, Leyla ne fut pas plus rassurée. C'est vrai qu'elle était toujours en vie et les survivants pouvaient être heureux pour ça... Mais les raisons du crash et de sa survie lui échappaient, et elle détestait cela. Elle se sentait... Terriblement impuissante.
Elle adopta un air réfléchi tous en baissant les yeux vers le sol, le regardant évasivement. Elle ne trouva rien à répondre à son interlocuteur, bien trop occupée à se poser des questions. C'est alors qu'un léger bruissement lui parvint aux oreilles. Leyla porta machinalement et furtivement la dans son dos où elle sentit le contact rassurant de son arme sous son débardeur. Alerte, ses yeux parcoururent la totalité du panoramique qui s'offrait à elle dans l'attente de la manifestation d'une quelconque présence. Elle jeta un bref coup d'oeil à Giovanni prés d'elle puis son attention se concentra sur le bruit. Une petite agitation des fourrés se fit entendre et Leyla se rapprocha hâtivement pour en découvrir la nature... Mais lorsqu'elle écarta la dense végétation, elle ne vit rien.

" Humm... Simple présence animale... " Commenta-elle.

Elle ne savait pas trop si elle devait être déçue ou rassurée. Aprés tout, elle ignorait tout ce qui pouvait se passer sur cette île méconnue...

Giovanni continuait a marcher tranquilement et sereinement a côté de Leyla, un grand blanc s'était installé, Leyla avait l'air de réfléchirn mais Giovanni continuait a marcher, tout en réfléchissant et en observant, puis il entendit un bruit soudain et il regarda Leyla, qui avait elle aussi a parement entendu le même bruit, il la regarda allez vers le buisson.

*Fait attention*
Pensa t-il en regardant, puis lorsque qu'elle examina les lieues, ils ne remarquèrent rien, elle devait avoir raison, ce n'e devait être rien d'autre qu'un écureuil, ou petit fauve, mais il n'était pas rassuré et resta un peu plus sur ses gardes en observant les alentours
-Oui nous devrions rester sur nos garde., déclara t-il en observant les alentours.
Puis ils continuèrent leurs chemin, Giovanni regardait un peu partout, et en avait un peu marre de se grand blanc.

-Que faisais tu avant ? Enfin si ce n'est pas trop indiscret ?, dit-il uniquement pour animer la conversation...

Leyla acquiesça sa remarque puis se remit en route, ne cessant de surveiller les alentours d'un oeil avisé et prudent. Ce n'est pas comme si elle ne s'y connaissait pas en repérage. Pour elle, c'était monnaie courrante même si ce n'était pas vraiment dans le même environnement. Alors que le silence s'était à nouveau abattu entre eux, ne la gênant pas vraiment dans son ascension, il lui posa l'ultime question. Question dont elle allait répondre comme d'habitude avec un énorme mensonge. Quoique, elle pouvait avouer qu'elle tuait des gens ; ici, tout ça avait bien peu d'importance. Elle arbora un sourire en coin, comme si cette question avait quoi que ce soit d'amusant.

" J'étais flic... " Lui répondit-elle simplement.

Cela expliquait l'arme et le fait qu'elle pouvait bien se battre. Cela rassurait et peut-être n'attirerait pas les soupçons sur elle. De toute manière, il fallait qu'elle joue le jeu. Continuant son avancée, elle jeta un oeil en coin à Giovanni pour voir sa réaction, puis poursuivit.

" Et toi ? "

Il continua a marcher au côté de Leyla, quand soudain elle lui répondit qu'elle était flic avant, Giovanni avait toujours était énnemis des flics, mais sur l'île ca n'avait plus vraiment d'importance, il fut d'ailleur assez surpris, il n'aurait pas imaginer que Leyla était une acienne flics.
Il continua a marchait et il sourit quand elle lui demanda ce qu'il faisait avant, il ne pouvait pas vraiment dire la vérité, mais il ne savait pas quoi dire d'autre, il eut un grand blanc et Giovanni réfléchit un instant tout en restant sur ses gardes, et en observant les alentours, puis il regarda a nouveau Leyla, et il sourit.

-Disons que...j'était dans les affaires...., dit-il tout simplement, il ne savait pas si cette réponse la satisferait, car elle n'était pas vraiment complete, de plus cette réponse était a moitié vrai.
Bref cette réponse manquait d'élément de conviction malgré ses talents en temps que diplomate...
Et il continua a marcher en observant les alentours et en regardant la jeune femme de temps en temps.

Lorsque Giovanni en vint à répondre, Leyla le surveillait du coin de l'oeil, analysant les moindres expressions qu'affichait son visage. La jeune femme avait appris à reconnaître ce que le faciès humain exprimait, et la véracité des émotions apparaissaient clairement à la jeune femme. Il eut une petite hésitation, et cela lui arracha un sourire en coin. Sa réponse évasive traduisait expressement le fait qu'il n'avait pas un job trés recommendable. Elle plissa les yeux, l'observant durant un instant avec une mine faussement accusatrice, puis elle reporta son regard devant elle. Décidément, elle n'était pas la seule à vouloir cacher ses origines.

" Les affaires hein... " Enchaîna-elle avec ironie. " Pas trés nettes j'imagine... "

Elle eut un petit rire discret puis jeta un regard amusé à Giovanni.

" Ne t'en fais pas. Je ne suis pas en service... " Ajouta-elle, partagée entre l'espièglerie et l'amusement.

Elle n'était pas du genre à pouvoir donner des leçons sur ce qui était des histoires louches... C'est pour cela qu'elle se ravisa d'en parler plus amplement.

Giovanni marchait a côté de Leyla, et il lui sourit quand elle enchaîna avec ses paroles pleines d'ironies, mais il ne dit rien et il réfléchit.

*Oui pas très nette...*

Mais il ne préféra rien dire, et il continua a marcher a ses côtés en regardant aux alentours et en restant sus ses gardes.
Puis il la regarda quand elle dit qu'elle n'était pas de service, et il lui sourit, il n'ajouta rien, et très vite un blanc planet au dessus d'eux, personne ne parler et Giovanni ne savait que dire.
Il continua donc en marcher en observant le magniquife paysage, il s'arreta un instant et il sortit une bouteille d'eau de son sac en la tendant vers Leyla, comme si il voulait lui demander si elle en voulait.

-Et que faisais-tu dans l'avion?, ajouta t-il enfin tout en lui tendant la bouteille.

Un silence plutôt révélateur s'abattit à nouveau sur eux et la jeune femme ne le releva pas, préférant rester concentrée sur les alentours. Pour le moment, il n'y avait rien de suspect, mais Leyla en savait assez pour rester prudente. C'est alors qu'il lui tendit une bouteille d'eau et qu'il lui demanda qu'est ce qu'elle faisait dans l'avion. Elle regarda la bouteille durant quelques secondes incertaines avant de la prendre.

" Merci... " Déclara-elle avec un petit signe de tête. " Et bien, comme tout le monde, j'allais à Los Angeles... J'avais une petite affaire à régler. "

Elle but une gorgée d'eau qui lui fit un peu de bien. Elle espérait que sur cette île il y avait au moins le minimum pour survivre ; c'est à dire eau plutôt buvable et de quoi manger.

" Et toi ? "

Giovanni pris la bouteille d'eau quand elle la lui rendit, et il continua a marchait en observant les alentours sans répondre a sa question, puis il dit finalement.

-Les affaires..., dit-il sans s'arrêter, et en regardant les alentours.

Il continuais a marchait en examinant le moindre arbre, la moindre feuille, tout autour de lui qui pouver être étrange.
Puis il s'arrêta a un petit court d'eau, il regarda autour de lui, et il traversa le cours d'eau, puis il se retourna vers Leyla, et il l'attendit, tout en observant autour de lui simplement par prudance, il ne savait pas vraiment au ils allaient se rendre par la suite...
Un grand vide s'était a nouveau installé entre eux.